Construction neuve, réhabilitation de bâtiments et contrôle d'accès
Le sujet du contrôle d'accès en promotion d'immeubles tertiaires neufs, ou en réhabilitation de bâtiments tertiaires, est un sujet où le choix du constructeur des équipements sera déterminant....
...tant pour les promoteurs immobiliers...
Lorsque le promoteur construit à blanc, il ne peut pas imaginer les usages du futurs locataires pour la bonne raison qu'il ne connaît pas l'activité de celui-ci. La conséquence est la nécessité de proposer des équipements de contrôle d'accès capables de s'adapter aux différents parcours d'utilisation possibles, et surtout proposant la meilleure expérience d'utilisation des bâtiments envisageable.
En effet, lorsque le preneur à bail (dans le cas d'une BEFA), ou l'utilisateur acquéreur (dans le cas d'une VEFA), investit le bâtiment, il est fréquent que celui-ci cure le contrôle d'accès installé en première monte si celui-ci ne répond pas à ses exigences en matière de flexibilité, de sécurité, et de qualité de l'expérience proposée à ses salariés et à ses visiteurs.
Or, il est dans l'intérêt du promoteur, afin que la commercialisation du bâtiment se démarque et que ledit bâtiment soit "ready to service", c'est-à-dire prêt à être utilisé par du futur preneur, de proposer une solution de contrôle d'accès évolutive et puissante, participant à la digitalisation des processus métier et à la sécurité du futur utilisateur, afin que celui-ci décide également d'équiper les portes en seconde monte - les cloisons qui seront posées dans le cadre des aménagements de l'utilisateur - du même système de contrôle d'accès que celui qui agrémentera les parties communes.
... que pour les entreprises de travaux en bâtiments adjudicataires des lots courants faibles.
L'autre sujet ne relève pas tant des usages futurs que de l'économie de la construction, qui veut que le promoteur passe ses marchés par appels d'offres - ce qui a pour conséquence d'attaquer les marges des entreprises générales comme des adjudicataires des différents lots. L'entreprise de travaux adjudicataire du lot courant faible n'échappe pas à cette règle, et il n'est pas rare que contrôle d'accès soit un lot qui, s'il ne représente que quelques pour cents d'un marché, coûte plus d'argents à son installateur qu'il n'en rapport en raison de son caractère éminemment technique et complexe car à la croisée de différents corps d'état. Ainsi, il est vital pour la rentabilité et donc pour la vitalité des entreprises d'électricité qu'elles retiennent les équipements de contrôle d'accès qui nécessitent le moins de temps à poser comme le moins de temps à mettre en service. Si chaque modification des plans exige une revue complète de l'architecture mise en place, ou un ajustement du dimensionnement des serveurs, il devient impossible pour l'électricien de maintenir une marge qui était originellement faible. Or, les chantiers doivent impérativement être rentables pour que le partenariat entre les entreprises de travaux et les promoteurs puisse perdurer.
Chez Welcomr, nous sommes fiers d'avoir conçus les équipements de contrôle d'accès les mieux adaptés aux entreprises d'électricité qui réalisent des bâtiments tertiaires neufs ou des réhabilitations de bâtiments de bureaux. Les explications à ce constat sont logiques et nombreuses, et tiennent à notre architecture cellulaire et au câblage fonctionnel que nous proposons, tout comme à l'absence de nécessité d'une mise en service physique par un technicien car nos équipements sont pré-configurés et donc "ready to service" pour nos intégrateurs également.